Je déplore la condamnation arbitraire, par le TPI de Dixinn, ce vendredi 23 février, du Secrétaire Général du SPPG, Sékou Jamal Pendassa.
Cette condamnation qui est une illustration de la persistance de la folie liberticide qui s’est emparée de la junte porte gravement atteinte aux libertés syndicales et de presse.
J’en appelle à la libération du syndicaliste et journaliste Pendessa et à la restauration de toutes les libertés individuelles et collectives confisquées par le CNRD.
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