Vraisemblablement, c’est un nouveau bras de fer qui s’annonce entre les forces vives de Guinée et les autorités de la transition. La sortie du nouveau premier ministre, Bah Oury, dans une interview qu’il a accordée à Radio France Internationale (RFI), a suscité l’indignation des FVG. Dans cet entretien, Bah Oury a affirmé que l’objectif serait d’organiser le référendum constitutionnel d’ici la fin de l’année 2024. Cette déclaration a irrité les forces vives qui prêtent à la junte les velléités d’un glissement de calendrier. Les force vives se sont donc fendues d’un communiqué dans lequel, elles condamnent cette déclaration du locataire du palais de la colombe.
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